Dieu sait ce que tu imagines
Quand tes yeux glissent sur mon jeans,
Là, comme ça
Tu me vois douce et câline
Avec toi petite machine dans tes bras
Non, ne me dis pas ce que tu penses tout bas
Je vois bien ce que tu veux de moi
Tes yeux me devinent serrée dans mon jeans
Et je m’imagine le feu qui brûle en moi
Le contours de mon corps
Allument dans ton corps un trouble si fort
Que tu succombes une fois encore
De tes yeux tu me dévores sans un remords
Toi, sans arrêt tu me presses
D’’être à toi, et je te laisse faire comme ça
Ton regard me suis sans cesse, me caresse
Et je te confesse que j’aime ça
Quand je bouge comme ça, juste là devant toi
Je vois bien ce que tu veux de moi
Tes yeux me devinent serrée dans mon jeans,
Et je m’imagine le feu qui brûle en toi
Les contours de mon corps
Allument dans ton corps un trouble si fort
Que tu succombes une fois encore
De tes yeux tu me dévores sans un remords
Quand tes yeux glissent sur mon jeans,
Là, comme ça
Tu me vois douce et câline
Avec toi petite machine dans tes bras
Non, ne me dis pas ce que tu penses tout bas
Je vois bien ce que tu veux de moi
Tes yeux me devinent serrée dans mon jeans
Et je m’imagine le feu qui brûle en moi
Le contours de mon corps
Allument dans ton corps un trouble si fort
Que tu succombes une fois encore
De tes yeux tu me dévores sans un remords
Toi, sans arrêt tu me presses
D’’être à toi, et je te laisse faire comme ça
Ton regard me suis sans cesse, me caresse
Et je te confesse que j’aime ça
Quand je bouge comme ça, juste là devant toi
Je vois bien ce que tu veux de moi
Tes yeux me devinent serrée dans mon jeans,
Et je m’imagine le feu qui brûle en toi
Les contours de mon corps
Allument dans ton corps un trouble si fort
Que tu succombes une fois encore
De tes yeux tu me dévores sans un remords
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